« Je ne veux pas ressasser le passé. »
Cette phrase, je l'entends souvent quand je discute avec des futurs parents.
Et je comprends. Parfois, le passé est lourd. Surtout celui de l’enfance.
Et parfois, on s’est tellement dissocié·e qu’on ne se rend même plus compte.
Jusqu’à ce que tout nous tombe dessus… au pire moment.
Souvent, quand on devient parent. En plein post-partum, avec la fatigue, les montagnes russes hormonales et émotionnelles.
Je comprends tellement quand on me dit : « Le passé est le passé, ça ne sert à rien de le fouiller, je veux un nouveau départ pour mon enfant. »
Parce que oui, c’est souvent dur. Revenir sur son vécu. Sur son enfance. Sur sa relation avec ses parents.
Devoir mettre de nouvelles limites. Réparer. Prendre soin de son enfant intérieur.
Et parfois, faire le deuil des grands-parents idéaux qu’on avait rêvés pour nos enfants.
Mais… c’est bien là le chemin.
Tout ce qu’on ne dit pas, tout ce qu’on cache - même inconsciemment -, nos enfants le ressentent. Et ils reproduisent nos modèles, nos comportements.
Alors oui, ça a été une des choses les plus dures que j’ai faites.
Mais après la naissance de mes enfants, j’ai changé de regard. Je me suis demandée :
→ Comment j’aimerais que mes enfants me voient plus tard ?
→ Quelle relation je veux avoir avec eux, une fois adultes ?
Et j’ai reproduit cela face à ma propre mère.
Ce n’était pas facile.
Notre relation était basée sur des mensonges, du chantage émotionnel, des conventions sociales.
J’ai dû lui dire clairement que cela ne m’intéressait plus. Que les mensonges étaient finis. Que le chantage émotionnel n’était plus acceptable pour moi.
Et vous savez quoi ? Elle a pleuré en me disant merci.
—
Je suis Susana, doula, et j’ai créé un pack pour aider les futurs papas à travailler sur leur passé. Pour qu’il ne leur tombe pas dessus, au moment où ils deviennent pères.
#doula #parentalite #transmission #guerison #paternite #enfance #developpementpersonnel #nostrfr #parenting #healing
Susana ✨ Doula
npub1vgzv...thel
Maman de 🌕 et de ☀️
❤️ AAD, placenta, allaitement
🎧 Créatrice de Gardiens de la Naissance
La colère est une émotion légitime. Comme la tristesse, la joie ou la sérénité.
Récemment, j’ai lu un commentaire sous une de mes publications : « Prends ça comme compliment, tu es une grande fille maintenant, l’adolescence est terminée. »
J’avoue, j’ai été choquée. Je me suis demandée si elle avait raison, si je ne m’étais pas laissée emporter par ma colère.
Puis je me suis rappelée : moi aussi, on m’a appris à enfouir ma tristesse et ma colère au fond de moi. Comme si ces émotions devaient disparaître en grandissant. Comme si c’était une preuve de maturité.
En devenant mère et en lisant des livres pour enfants sur les émotions, j’ai compris à quel point cette vision était dépassée.
Garder pour soi la colère ou la tristesse peut avoir un impact psychologique et même physique. Et il est vital d’apprendre à exprimer, accueillir et comprendre ces émotions.
Beaucoup d’adultes de nos générations n’ont pas appris à le faire, car ils n’ont pas été écoutés enfants.
Si tu te reconnais, voici une astuce toute simple : commence par des livres pour enfants sur les émotions. Même adulte, ça fonctionne !
Quelques recommandations :
- Un trop plein d’émotions, de LittleBunBao
- Le Monstre des Couleurs
- Bienvenue Tristesse d’Eva Eland
- Tristesse, Colère et Peur de Lotta Olsson
- Ma Peur et moi de Francesca Sanna
Et pour aller plus loin :
- le livre Au Cœur des Émotions de l’Enfant d’Isabelle Filliozat
—
Je suis Susana, et j’accompagne les femmes et les couples à vivre une parentalité plus consciente et alignée. J’ai aussi créé le programme audio “Gardiens de la Naissance” pour aider les futurs papas et les couples à mieux comprendre, soutenir et traverser la grossesse, la naissance et le post-partum.
#parentalite #emotions #doula #gardiensdelanaissance #développementenfant #education #nostrfr #parenting
Accompagner des enfants capables de soutenir les femmes dans leur cycle, ça commence tôt.
Même à 2 ou 4 ans, ils peuvent apprendre à comprendre ce que vit une femme et comment l’accompagner.
Deuxième semaine seule avec mes deux enfants. La fatigue se fait sentir et mes règles arrivent.
Heureusement, ils savent ce que c’est.
Après la naissance de mon fils, ma fille, 2 ans, m’accompagnait aux toilettes et s’est familiarisée avec les lochies.
Un an et demi plus tard, quand mon retour de couches est arrivé, elle m’a demandé si c’était la même chose. Elle s’en souvenait !
Je lui ai expliqué : le manque d’énergie, l’irritabilité, parfois des douleurs, le besoin de repos ou d’isolement.
Et presque chaque mois, on en reparle.
(Petite question : à partir de quel âge arrivez-vous à aller seul.e.s aux toilettes durablement ? 🚽😅)
Aujourd’hui, en voyant que mes règles arrivaient, j’ai d’abord paniqué : H24 avec les enfants, comment faire ?
Alors je les ai “convoqués” : “Vous vous souvenez de ce que c’est ? Et comment pouvez-vous m’aider aujourd’hui ?”
Ma fille a répondu : “Je peux jouer un peu plus toute seule et te laisser tranquille ?”
J’ai eu envie de pleurer tellement c’était beau.
Bien sûr, elle n’a pas réussi toute la journée, et mon fils n’y comprend pas encore grand-chose.
Mais ils apprennent à écouter et à soutenir.
Et je me rends compte que j’élève un futur homme capable d’accompagner les femmes dans leur cycle.
Alors allez-y ! Parlez-en. Dites ce que vous ressentez, ce dont vous avez besoin, ce qui vous fait du bien.
Un jour, vous aurez une famille qui vous soutient dans vos cycles. Et vous contribuez à une génération plus à l’écoute de son corps, loin des messages toxiques sur le sang et les odeurs.
—
Je suis Susana, doula, et j’accompagne les parents pour qu’ils élèvent leurs enfants en conscience, dans le respect de leurs corps, de leurs émotions et de leurs besoins mutuels.
#menstruations #parentalitéconsciente #écoutedesoi #éducationpositive #doula #futursparents #cycleféminin #parenting #bleeding #nostrfr
J’ai menti lors d’un entretien d’embauche. Et j’ai eu le job.
Je voulais ce poste. La mission me parlait énormément, et je partageais les valeurs de l’entreprise.
Mais il fallait maîtriser un outil informatique dont je n’avais jamais entendu parler.
Pour moi, c’était un détail.
J’ai toujours été autodidacte, et ça n’allait pas m’empêcher de donner le meilleur de moi-même si j’étais prise.
J’ai téléchargé le tutoriel et je l’ai lu dans le train, juste avant l’entretien.
J’ai appris assez pour me débrouiller à l’oral.
Puis, on m’annonce que j’ai eu le poste !
J’avoue : j’ai galéré les premières semaines. Et j’ai eu peur d’avoir commis une erreur.
Mais plus tard, j’ai découvert que n’importe qui aurait galéré : les fichiers de sauvegarde n’étaient plus compatibles avec la version du logiciel installée sur le PC.
Quand j’ai quitté ce poste, un an et demi plus tard, je n’ai eu que des retours positifs.
J’avais apporté un nouveau souffle, été à l’origine de nouvelles idées, porté seule des projets… j’étais allée bien au-delà de ce qui était attendu lors de l’entretien.
Quand je suis devenue entrepreneuse et que c’était à mon tour de recruter, c’était une évidence : la motivation et les valeurs comptaient bien plus que n’importe quel diplôme ou expérience pro.
Et on ne s’est pas trompés : au sein de WE DO GOOD, nous avons accueilli des personnes extraordinaires, qui ont énormément apporté à l’équipe et à l’entreprise.
Et qui ont grandi avec nous.
Pourquoi je vous raconte cette histoire ?
Parce que ma fille est en Moyenne Section, et que ça me rend dingue, ce formatage qui commence si tôt.
La privation de ce dont ils ont besoin pour bien se développer : tester, explorer, jouer.
Et ces ministres qui disent qu’il faut « se préparer presque depuis la maternelle à sa formation et à un métier ».
On tue leur génie et leur créativité pour les faire rentrer dans des cases, pour passer une bonne partie de leur vie à l’école à apprendre des choses qui ne les intéressent pas forcément, qu’ils vont oublier, pour finir par décrocher, ou au pire, par tenir bon jusqu’au burn-out.
Je caricature, mais dans les grandes lignes, c’est ça, la réalité aujourd’hui en France.
Sommes-nous ici, dans cette vie, pour ça ?
Je ne le crois pas.
Alors, si ce sujet vous parle et que vous recrutez…
Est-ce que ça vous dirait de revoir vos cases ?
D’oublier le CV et de demander une vraie lettre de motivation ?
D’oublier le diplôme et de vous concentrer sur les qualités humaines et les valeurs ?
—
Je suis Susana et j’accompagne les parents qui veulent élever leurs enfants dans la curiosité, la confiance et la liberté — pour qu’ils puissent grandir sans rentrer dans les cases qu’on leur impose.
#recrutement #valeurs #motivation #éducation #parentalité #apprentissage #doula #curiosité #liberté #nostrfr #parenting #job #CV


Il y a quelques jours, j'ai évoqué « des parents fiers d’avoir tenu jusqu’à 6 mois avant d’avoir cédé aux écrans ».
C’était une phrase parmi d’autres, dans un texte qui parlait de tout autre chose.
Et pourtant, c’est celle qui a déclenché le plus de réactions : des commentaires, des messages privés, des gens en colère.
Pas à cause du fond, mais parce qu’ils se sont sentis jugés.
Et ça m’a beaucoup fait réfléchir.
Pourquoi certains sujets déclenchent-ils autant d’émotions, même quand l'intention du message n'est pas de culpabiliser ?
Je suis convaincue que c’est parce qu’en fait la culpabilité ne vient pas de l’extérieur : ce ne sont pas les autres qui nous font sentir coupables.
Elle naît quand un mot, une phrase, vient toucher un endroit en nous qu’on pensait apaisé :
- un choix qu’on a fait à contre-cœur
- une période où on s’est senti·e seul·e, dépassé·e
- un souvenir, un regret, une valeur mise de côté
Mais la culpabilité n’est pas une faute, n'est pas à blâmer, à corriger, à enfouir. C’est une émotion à écouter, comme toutes les autres : elle parle de nos besoins, de nos valeurs, de ce qu’on aimerait vivre différemment.
Donc aujourd'hui je te propose un exercice simple qui a changé ma vie (je me sentais coupable de tout et n'importe quoi !).
La prochaine fois que tu sens cette émotion monter - au travail, dans ton rôle de parent, dans ton couple - fais une pause. Oublie le message, ou la personne qui l’a dit.
Et demande-toi : pourquoi ça me touche ?
Qu’est-ce que j’aurais aimé vivre différemment ?
Qu’est-ce que ça dit de mes besoins, de mes limites, de mes valeurs ?
Parfois, comprendre ça change tout.
—
Je suis Susana, et j’accompagne les femmes et les couples à vivre une parentalité plus consciente, plus alignée et plus sereine - loin des injonctions et des comparaisons.
Et j’ai créé le programme audio Gardiens de la Naissance, une préparation dédiée aux futurs pères pour mieux comprendre, soutenir et traverser ensemble la grossesse, la naissance et le post-partum.
#culpabilité #parentalité #émotions #intelligenceémotionnelle #préparationalenaissance #doula #postpartum #psychologie #nostrfr #parenting


« Des parents fiers d’avoir tenu jusqu’à 6 mois avant d’avoir cédé aux écrans. »
C’était une phrase parmi d’autres, dans une publication sur un tout autre sujet.
Et pourtant, c’est celle qui a déclenché le plus de réactions : des commentaires indignés, des messages privés, des débats passionnés.
Comme si parler d’écrans revenait forcément à juger.
Mais au fond, ce que je voulais dire, c’est surtout ça : être parent aujourd’hui, c’est incroyablement difficile.
On vit dans une société où chaque décision parentale est scrutée.
Où tout devient sujet à polémique : allaitement ou biberon, cododo ou chambre séparée, diversification libre ou purées maison, école publique ou Montessori.
Et à la moindre divergence, la culpabilité s’invite.
Alors qu'on fait de notre mieux.
Les mères doivent être parfaites : patientes, organisées, épanouies, bien coiffées, la maison rangée, l’enfant heureux et propre. Et quand ce n’est pas le cas (spoiler : c’est rarement le cas), elles se sentent en échec.
Parce qu’elles ne rentrent pas dans le cadre parfait d’Instagram.
Les pères, eux, se retrouvent face à un rôle nouveau : ils doivent tout apprendre, tout comprendre, tout incarner — la présence, le soutien, la douceur, la solidité — souvent sans avoir eu de modèle à suivre, tout en continuant à “assurer” au travail.
Et au milieu de tout ça, le village a disparu. Les familles sont éclatées, les communautés se sont effacées, le temps s’est contracté.
Alors oui, c’est normal qu’on soit paumés, fatigués, dépassés.
Et qu’on culpabilise quand quelqu’un ose juste évoquer les “écrans”.
Mais ce n’est pas un manque de volonté. C’est un manque de préparation.
Pas une préparation médicale, logistique ou purement technique.
Mais une vraie préparation humaine : à la grossesse, à l’enfantement, au post-partum et à la parentalité.
Une préparation qui parle de la physiologie, de l’attachement, du développement émotionnel de l’enfant, du couple, du rôle du père, du lien mère-bébé.
Et surtout, une préparation qui tienne compte de la réalité : la fatigue, les doutes, la solitude, les contradictions.
Changer la préparation à la naissance telle qu’elle existe aujourd’hui, c’est pour moi un enjeu essentiel.
Pas juste pour “mieux vivre” la naissance, mais pour transformer en profondeur la façon dont on entre dans la parentalité.
—
Je suis Susana, doula.
J’accompagne les femmes et les couples à vivre une parentalité plus consciente, plus apaisée, plus vraie — loin des injonctions et des comparaisons.
Et j’ai créé le programme audio “Gardiens de la Naissance” pour les futurs papas : une préparation hebdomadaire, à écouter seul ou en couple, pour mieux comprendre, soutenir et vivre pleinement cette aventure.
#parentalité #préparationalenaissance #doula #maternité #paternité #postpartum #naissance #gardiensdelanaissance #nostrfr #parenting
Ma mère pense que ma fille de 4 ans est surdouée. Et ça me révolte.
Elle s’intéresse à la lecture, oui.
Mais c’est aussi une enfant qui a grandi dans une maison remplie de livres.
On en a toujours eu plus que de jouets.
On va chaque semaine à la bibliothèque.
On lit tous les soirs. Et, surtout, elle nous voit lire, concentrés, en y prenant du plaisir, en rigolant même.
Ce n’est pas ma fille qui est surdouée.
C’est l’environnement qui la nourrit.
Plus il y a de livres à la maison, plus ils sont valorisés, plus les enfants développent des compétences solides en lecture et en compréhension. C’est un facteur plus important que le milieu socio-économique.
➜ Li et al., BMC Psychology (2025)
➜ Evans et al., Research in Social Stratification and Mobility (2010)
Et ça me rend dingue de voir, dans ma famille, tous ces enfants collés à des écrans — avec des parents fiers d’avoir “tenu” jusqu’à leurs six mois avant de céder.
Des enfants à qui on interdit de toucher la nourriture avec les mains, de se salir, de faire du bruit.
Je ne les juge pas. Je suis bien consciente de combien c’est difficile d’être parent aujourd’hui. Ce qui me rend dingue, c’est qu’on en soit arrivés là.
Et l’école, ce n’est pas mieux : une maman me racontait récemment avoir été convoquée par la maîtresse, car son fils de 3 ans « ne pensait qu’à jouer » et « n’avait pas encore compris le sens de l’école ».
Les enfants apprennent en jouant, en imitant, en explorant, en expérimentant.
Pas en répétant sagement ce qu’on leur dit.
—
Je suis Susana, doula.
J’accompagne les jeunes parents qui veulent élever leurs enfants dans la curiosité, la confiance et la liberté — loin des injonctions absurdes.
#éducation #lecture #parentalité #développementdelenfant #parentalitéconsciente #liberté #curiosité #doula #nostrfr #parenting
#éducation #lecture #parentalité #développementdelenfant #parentalitéconsciente #liberté #curiosité #doula #nostrfr #parentingSi tu as peur de devenir mère,
ce message est pour toi.
On ne naît pas prête. On le devient.
Tu n’as pas à être parfaite. Juste présente.
Pendant longtemps, je disais que je ne voulais pas d’enfants.
J’étais mal à l’aise avec les bébés, les gamins, même les ados.
Je pensais ne pas avoir “l’instinct maternel”.
Je me racontais que je voulais être libre, que le monde était déjà bien plein, que ce n’était pas écolo…
Et puis ma cousine a eu un bébé.
Le bébé le plus doux, le plus câlin, celui qui te serre fort juste parce qu’il t’aime.
Et là, j’ai compris.
Je ne voulais pas d’enfants parce que moi-même, je n’avais pas eu le droit d’en être une très longtemps.
J’ai dû grandir trop vite.
Et la petite fille en moi était restée seule, triste, en manque de tendresse.
Comment aurais-je pu prendre soin d’un autre enfant alors qu’elle, à l’intérieur, n’avait encore jamais été accueillie ?
Aujourd’hui, en même temps que je suis devenue mère de deux enfants, je prends soin de cette petite fille intérieure.
Et plus je la guéris, plus je me sens apaisée, confiante, capable.
—
Je suis Susana, doula.
J’accompagne les futures mères dans cette traversée où l’on enfante un bébé… mais aussi une nouvelle version de soi.
Et j’ai créé le programme Gardiens de la Naissance pour aider aussi les futurs pères à trouver leur place dans cette transformation.
#devenirmère #doula #grossesse #matrescence #transformation #maternité #naissance #postpartum #gardiensdelanaissance #nostrfr
Dimanche, j'ai animé un atelier sur la place du père dans l'allaitement maternel. Sur la vingtaine de participant.e.s, 3 pères étaient présents. Et j'ai vu leur regard changer au moment où je leur ai dit ces mots : "Ce n'est pas de votre faute."
Je venais de partager deux cas classiques : des projets d'allaitement avec toutes les conditions de réussite, qui se sont terminés prématurément. Pourquoi ? Parce que les pères n'avaient pas été suffisamment préparés. Pas par manque de volonté, mais parce qu'ils ne connaissaient ni les mécanismes du lien d'attachement, ni comment sortir de la posture du "sauveur".
Comme d'habitude, tout le monde était prêt à pointer du doigt ces jeunes pères qui "n'ont pas voulu" se préparer.
C'est là que j'ai posé LA question : combien de pères décident consciemment de ne pas se préparer ? Consciemment, c'est-à-dire :
→ J'ai compris que c'était un défi majeur
→ On m'a fourni des outils adaptés
→ J'ai choisi de les refuser
Ma réponse ? AUCUN.
Le problème n'est pas les pères. Avant, on faisait sans eux. Ce n'était ni leur rôle, ni dans leurs gènes, ni dans leur héritage culturel. Les femmes étaient entourées d'un village de soutien, essentiellement féminin.
Cette transformation s'est faite en quelques décennies seulement. Nous cherchons encore nos repères : notre place, notre rôle, nos outils.
Quand j'ai expliqué qu'il était parfaitement normal que les pères ET les mères se sentent souvent perdus, j'ai senti un soulagement collectif. Prendre conscience de ce contexte, ça change tout.
Mais ce n'est pas une excuse pour l'inaction. Le monde a changé. Nous avons besoin d'un upgrade urgent de ce que nous proposons aux futurs pères.
Les enjeux sont immenses :
✨ Bien-être des mamans en post-partum
✨ Réduction du taux de dépression périnatale
✨ Santé de la mère et du bébé
✨ Stabilité des couples après la naissance
--
Je suis Susana, doula engagée pour un meilleur accompagnement des futurs pères et des couples. J'ai créé Gardiens de la Naissance, une série audio qui aide les futurs pères à trouver leur juste place — celle d’un allié solide, confiant et conscient.
#Paternité #Allaitement #PostPartum #Doula #Parenting #Birth #Nostrfr


Tellement de bouleversements en ce moment, qu'une nouvelle présentation s'impose !
Quand je me présente aujourd’hui, je commence par dire que je suis maman de deux enfants.
Car leur naissance a bouleversé ma vie, m’a poussée à tout questionner… et m’a permis de me retrouver moi-même.
Je suis arrivée en France il y a 20 ans, par amour. Et j'ai toujours un petit accent.
Aujourd’hui, je vis à la campagne entre Rennes et Nantes, dans une vieille maison en pierre que nous voulu rénover avec mon conjoint.
Mille péripéties plus tard, nous préparons désormais un départ en mode nomade vers le Sud. À la recherche de liberté, de simplicité et de légèreté.
Je suis intuitive, empathique, hypersensible.
Plutôt introvertie aussi.
J’ai 40 ans mais parfois je me sens comme une petite fille dans un corps d'adulte. D'autres fois, comme une grand-mère pleine de sagesse. Et, plus souvent, juste comme une maman dépassée par le quotidien.
Je connais la violence physique et psychologique, l’abus se*uel, l’alcoolisme, la dépression, le burn-out, la précarité, le deuil, l’abandon, le rejet, la trahison.
Le fil rouge de parcours est atypique ? Mon intuition. J'ai toujours su l'écouter, même si les décisions à prendre ne semblaient pas très rationnelles. Ce qui a fait que j'ai toujours rencontré les bonnes personnes au bon moment.
Aujourd’hui, j'ai l'honneur de partager ma vie avec un homme qui m’encourage à aller plus loin.
Il fait confiance à mon intuition encore plus que moi… et me pousse à sortir régulièrement de ma zone de confort.
Mes métiers sont multiples :
✨ J’ai créé Gardiens de la Naissance, un programme audio pour les futurs papas.
✨ Je suis doula et j’accompagne des mamans, des familles, de la grossesse au post-partum.
✨ J’explore le monde énergétique et propose des soins transformateurs.
Et dans un tout autre registre…
J’aime observer les grands bateaux passer au large.
Ramasser des coquillages.
Lire, écrire.
Explorer les mystères de la nature, du corps humain et de l’Univers.
Je suis née dans la religion catholique, que j'ai longtemps critiquée.
Aujourd’hui je crois surtout que toutes les croyances se rejoignent. Qu'au fond, nous cherchons tous la même chose : le sens de la Vie.
Je crois en l’Amour universel et inconditionnel. En l’unicité.
Et je crois aux signes, ces fameuses coïncidences improbables… de vrais messages à écouter avec le cœur.
Je crois aussi que notre corps est sacré. Qu’il nous transmet, lui aussi, des messages essentiels pour avancer.
Pourquoi Mama Ourse ? 🐻
Parce que l’ours revient souvent dans ma vie… et que je m’y reconnais profondément.
Symboliquement, l’ourse incarne la mère de famille prête à tout pour protéger les siens.
C’est l’opposition du clan face à la société.
Elle est aussi liée au soin maternel et à l’instinct de survie.
Si ma présentation résonne avec toi, peut-être que nous avons un bout de chemin à parcourir ensemble.
Écris-moi 💌
#Hello #MeetMe #GettingToKnowYou #Nostrfr #doula #energycare #Hellonostr #Helloworld
Passer de 1 à 2 enfants, peut être un de tes plus gros défis.
Ma fille avait un an et demi et se réveillait encore la nuit quand j’ai eu envie d’un 2ème enfant. Malgré la fatigue, je pensais que ce serait plus simple. C’est ce que tout le monde disait.
Je ne m’attendais pas à ce que ce soit si dur.
Le nourrisson, l’allaitement, les nuits hachées… ça, je connaissais. C’était fluide.
Mais ne plus être disponible pour mon aînée, la voir en détresse, enchaîner des tempêtes émotionnelles… ça m’a brisé le cœur.
Cela arrive surtout aux mamans, par nature plus prises par le nourrisson les premières semaines.
Mais aussi au papa, qui prend souvent le relais et peut avoir l’impression de ne pas réussir à créer du lien avec le bébé, surtout en comparant avec ce qu’il avait vécu pour l’aîné.e.
Aujourd’hui encore, avec 4 et 2 ans, je me sens parfois démunie quand ils se disputent. Ce qui arrive au moins une fois par jour, parfois 10. Je n’ai pas envie de passer mon temps à chercher qui a raison, à raisonner (ça ne marche pas), ni à perdre mes moyens faute d’outils.
Alors je lis, je me forme, encore et encore.
Voici 3 astuces pour t’aider :
- prépare (vraiment) ton aîné·e
- prévois très vite des moments exclusifs avec lui/elle
- apprends des techniques pour encourager les comportements positifs (ça évite cris et punitions)
J'ai écrit un article sur le sujet : https://www.gardiensdelanaissance.com/blog/preparer-arrivee-deuxieme-bebe-guide-complet
Tu y trouveras quelques idées de rituels pour préparer ton ainé.e, la liste des meilleurs livres pour enfants sur le sujet et quelques ressources et outils pour t'aider à ne pas te sentir démuni.e sur le sujet !
#parentalite #devenirparents #fratrie #maternite #paternite #grossesse #postpartum #viedeparents #viedefamille #mumlife #dadlife #nostrfr #parenting
Essayer d'enfanter de manière physiologique à l'hôpital 🤣
Si vous ne connaissez pas, ça vient du compte @thegreatbirthrebellion sur Insta, ils sont géniaux !
#grossesse #accouchement #birth #naissance #nostrfr
🔥 Je trouve ça fou qu’on nous apprenne à avoir peur du corps humain, dès la petite enfance.
À la PMI, on me demande si j’ai du Doliprane à chaque rendez-vous.
On me donne une ordonnance, au cas où.
Il faut que l’assistante maternelle l’ait, c’est obligatoire.
Mais on ne m’a jamais expliqué à quoi sert la fièvre.
Ce qu’elle fait dans le corps.
Qu’elle n’est pas l’ennemie à abattre… mais souvent la première alliée.
On nous apprend à la faire taire dès les premiers signes.
Et on normalise l’automédication sans même parler des risques.
Et si on apprenait aux enfants à comprendre leur corps, plutôt qu’à le corriger ?
Parce que si on grandit en ayant peur de la fièvre…
…on finira par douter aussi de la grossesse, de l’enfantement, de tout ce que notre corps est capable de faire.
💡 Tout est lié.
Et on peut choisir d’ouvrir les yeux. De transmettre autre chose.
#confianceencorps #grossessephysiologique #enfantement #trustyourbody #toutestlié #nostrfr #parenting


"Chez nous il y a des règles, quelqu'un doit lui apprendre les limites !"
Cette phrase, balancée par mon beau-père en colère, m’a tétanisée.
D’un coup, j’ai eu 5 ans à nouveau.
Face à mon propre père.
Je tremblais.
C’est vrai :
Je n’oblige pas ma fille à manger si elle n’a pas faim.
Ni à faire la bise.
Ni à dire “s’il te plaît” ou “merci” si ce n’est pas sincère.
Je la laisse marcher pieds nus. En culotte. Pas toujours coiffée.
Je me suis demandée…
Est-ce qu’il a raison ?
Est-ce qu’il n’y a pas de règles chez nous ?
Et puis je me suis rappelée.
Oui, il y a des règles.
Mais pas les mêmes.
👉 S’écouter, écouter son cœur.
👉 Respecter son corps, celui des autres, la nature.
👉 Prendre soin : de la maison, des animaux, des gens.
👉 Assumer les conséquences, réparer quand on peut.
Elles n’étaient juste pas écrites. Pas visibles.
Alors je me suis posée avec elle.
Je lui ai demandé : “Qu’est-ce qui est important pour nous, ici ?”
On les a listées ensemble.
Elle a 4 ans.
Et une clarté que j’envie à 40.
Aujourd’hui, nos règles sont affichées à l’entrée de la maison.
Et je remercie mon beau-père.
Parce que grâce à lui, je peux enfin lui dire que oui…
Chez nous aussi, il y a des règles.
Juste pas les mêmes.
#parenting #nostrfr #kids


Avec le lancement de Gardiens de la Naissance, j’ai dû affronter un énorme syndrome de l’imposteur.
J’entreprends seule. Je parle à des hommes. Sur un sujet encore tabou.
Et je ne suis pas médecin.
Mais je suis convaincue d’une chose :
👉 La préparation des futurs pères est une clé majeure pour transformer la naissance, le post-partum, la parentalité.
Et donc le monde.
Alors oui, je doute parfois de moi.
Mais jamais de l’importance de ce que je fais.
Tu ne vois pas encore exactement de quoi il s’agit ?
J’ai créé un ebook gratuit :
Les 6 sujets que tout futur père devrait aborder dès la grossesse pour prendre sa place, créer du lien avec son bébé et soutenir sa partenaire.
✨ Commente "ebook" pour recevoir le lien ✨
#futurpapa #grossesse #postpartum #parentalitéconsciente #parentalitépositive #naissance #périnatalité #dépressionpostpartum #gardiensdelanaissance #couple #futurgenerations #nostrfr #parenting
🎧 Mini extrait de l’épisode sur le lien d’attachement — un des sujets les plus essentiels de cette prépa audio pour futurs papas.
C’est souvent parce qu’il n’est pas encore là pendant la grossesse… que beaucoup de papas ne se sentent pas encore vraiment impliqués.
Pas tout à fait concernés.
Et donc… pas besoin de se préparer.
Puis, le jour de l’enfantement, on se retrouve spectateur, pas prêt, démuni.
Et ça peut laisser des traces.
Un sentiment d’impuissance.
Un post-partum qui démarre mal.
Et quand on tient enfin ce bébé dans nos bras… et qu’on ne ressent pas cette fameuse « connexion magique »… on culpabilise.
On se demande si quelque chose cloche chez nous. Si on est faits pour être pères.
Alors qu’en réalité, c’est juste qu’on ne nous a pas préparés.
Parfois, on va même jusqu’à croire que c’est à cause de l’allaitement.
Que le bébé passe trop de temps au sein.
Et on finit par demander des biberons, juste pour essayer d’exister.
Mais le lien d’attachement, ce n’est pas une affaire de lait.
C’est une affaire de présence.
De régularité.
Et oui, ça commence dès la grossesse.
Il y a plein de manières concrètes de créer ce lien dès maintenant.
Viens les découvrir dans la prépa audio « Gardiens de la Naissance ».
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Moins cher qu’une séance de psy en post-partum.
Ou qu’un passage précipité au lait artificiel 😉
🎧 Lien en bio
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C'est officiellement en ligne !
La première prépa audio spécifiquement destinée aux futurs papas :
- pour les aider à mieux comprendre les différentes étapes et comment soutenir leur partenaire, concrètement, de la grossesse au post-partum
- pour leur permettre de découvrir des pratiques pour tisser le lien avec leur bébé, dès la grossesse
- pour les soutenir dans leur travail intérieur et préparer une parentalité proximale et consciente
Des outils et actions concrètes à mettre en place à chaque épisode et des témoignages réels de jeunes papas.
11 épisodes déjà disponibles sur cette version lancée le 11 juin à 11h11, qui sera enrichie progressivement avec de nouveaux sujets et des masterclass spécialisées. Et toute souscription aujourd'hui donne accès à vie à tous les contenus à venir !
Si tu n'es pas actuellement directement concerné.e, n'hésite pas à partager ! C'est une manière concrète de soutenir un projet qui rêve d'un monde où les mères enfanteront de nouveau dans leur puissance, vraiment soutenues par leur partenaire. Et de bébés entourés de parents présents, conscients, connectés ❤️
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Il veut t’aider, mais il ne sait pas toujours comment.
Il veut être là, mais il a besoin de clés.
Et toi, tu mérites un partenaire qui comprend ce que tu traverses.
💛 J’ai imaginé une préparation audio à écouter à son rythme.
Pour l’aider à devenir un véritable gardien de la naissance.
Pas juste un témoin.
Pour que vous ne fassiez pas partie des 50% des couples qui envisagent de se séparer dans l'année qui suit la naissance d'une bébé.
🎧 Un format court et impactant,
pour qu’il sache comment t’accompagner de la grossesse… jusqu’au post-partum.
Ça va te changer la vie.
Lors d'un des moments que tu n'oublieras jamais.
Ça change tout d'avoir à ses côtés quelqu'un formé pour accompagner une fausse couche, une grossesse difficile, la pression de la maternité, un accouchement qui ne passe pas comme prévu, un projet d'allaitement.
Quelqu'un qui ne pense pas aller gravir une coline alors que c'est l'Everest qui vous attend.
Quelqu'un qui a réfléchi à ce qu'il vaut transmettre (ou pas) à son enfant et qui a préparé son congé paternité.
Quelqu'un qui sait de quoi tu auras besoin en post-partum sans que tu sois obligée de demander.
Lien en bio.
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Supplémentation et médicaments pendant la grossesse : ce qu'on ne vous dit pas
- Suppléments de fer classiques, spasfon = composants toxiques qui peuvent atteindre le bébé
- Doliprane = plus de risque de troubles du spectre de l'autisme ou de TDA/H chez l'enfant
- Vitamine K systématique = contre-nature
- Vitamine D synthétique = épuise nos réserves
- Acide folique = freins de langue ?
L’objectif ici n’est pas de culpabiliser, mais d’informer, pour que chacune puisse faire des choix plus éclairés.
Parce qu’aucun supplément ne remplacera une alimentation riche en nutriments, un rythme de vie équilibré, de la lumière naturelle et du repos.
Et parce que certains produits dits “sécuritaires” peuvent en réalité avoir des effets inattendus.
🔸 Les compléments classiques
L’étude de cohorte Iowa Women’s Health Study a mis en évidence une association entre la prise régulière de multivitamines (surtout celles contenant fer et cuivre) et une hausse de la mortalité toutes causes confondues.
Pourquoi ? Parce que ces vitamines sont souvent sous forme synthétique, peu assimilables par le corps, et accompagnées d’additifs. Des experts comme Julien Venesson, Thierry Souccar ou le Dr Jean-Paul Curtay en ont largement parlé : mieux vaut privilégier une alimentation dense en nutriments ou, à défaut, des compléments bien choisis et bien dosés.
🔸 Le fer prescrit en systématique
Souvent donné dès le deuxième trimestre, il est pourtant mal toléré par de nombreuses femmes…
En plus, la plupart des suppléments contiennent du dioxyde de titane (additif suspecté cancér!gène, interdit dans les aliments depuis 2022), et des oxydes de fer jaune ou rouge, qui peuvent contenir des nanoparticules néfastes pour le système immunitaire.
D’autres formes de fer, plus douces et mieux assimilées (comme le bisglycinate de fer ou certaines sources végétales associées à la vitamine C), existent.
🔸 La vitamine K donnée aux nouveau-nés
Les bébés naissent avec un taux naturellement bas de vitamine K. Et ce n’est pas une erreur de la nature : ce faible taux favorise la circulation des cellules souches issues du cordon dans le corps du bébé.
Le colostrum maternel, riche en vitamine K, vient soutenir ce processus. On peut donc se demander si une injection systématique à la naissance est toujours pertinente, ou si une approche plus individualisée serait plus respectueuse du rythme physiologique du bébé.
🔸 La vitamine D synthétique
On nous recommande de donner aux bébés et aux enfants en continu. Pourtant, prise seule, la vitamine D de synthèse peut créer des déséquilibres : elle épuise les réserves de magnésium, et perturbe les vitamines A et K2.
Mais au lieu d’interroger notre manque d’exposition à la lumière naturelle, on nous propose des compléments… comme si c’était équivalent.
🔸 Le paracétamol (Doliprane)
Plusieurs études montrent qu’une exposition régulière au paracétamol pendant la grossesse peut augmenter le risque de troubles du neurodéveloppement chez l’enfant : TDAH, troubles du spectre de l’autisme...
🔸 Le Spasfon
Très courant pendant la grossesse… sauf qu’il contient lui aussi du dioxyde de titane.
On le prescrit souvent en prévention ou pour des inconforts bénins, mais sans jamais remettre en question son utilité réelle – ni ses excipients.
🔸 L’acide folique
60% des personnes ont une variante génétique (MTHFR) qui les empêche d’utiliser efficacement l’acide folique synthétique.
La forme active (L-méthylfolate) est souvent plus adaptée.
Encore plus troublant : certaines études suggèrent que l’excès d’acide folique non métabolisé pourrait être lié à une hausse des freins de langue chez les bébés.
🎯 Le vrai enjeu ?
C’est qu’on nous propose trop souvent des solutions toutes faites, à base de molécules de synthèse, sans parler de nutrition, d’hygiène de vie, de repos, d’environnement…
Et que tout cela est présenté comme “sans danger”, alors que les données scientifiques montrent le contraire. Je partagerai en story sur Instagram des publications plus approfondies pour celles et ceux qui souhaitent creuser le sujet.
👉 Opinion personnelle basée sur mes recherches, sans valeur médicale. À chacun·e de s'informer. Je partagerai en story sur Instagram quelques ressources supplémentaires.
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"Tant pis pour toi et pour ton bébé"
Quand on ose questionner les protocoles médicaux, quand on refuse le test du diabète gestationnel ou qu'on souhaite continuer à manger des œufs au plat pendant la grossesse, on essuie une pluie d'agressions.
Le plus troublant ? Ces attaques viennent souvent d'autres femmes.
"Ah oui ? Il ne faut pas s'étonner si quelque chose se passe mal. Ce sera tant pis pour toi et pour ton bébé."
Pourtant, cette même violence ne s'exprime jamais quand :
- On accepte un déclenchement sans être vraiment convaincue et que ça se passe mal
- On contracte la toxoplasmose malgré le respect scrupuleux de toutes les recommandations
- On choisit la péridurale pour ne rien sentir mais qu'on garde des séquelles lourdes, sans avoir été prévenue
Dans ces cas-là, jamais on n'entend : "tant pis pour toi et pour ton bébé".
C'est le paradoxe de ce monde patriarcal : il pousse les femmes à être impitoyables entre elles, à juger plutôt qu'à soutenir le libre choix de chacune.
Moi aussi, j'ai mis du temps à sortir de ce schéma. J'y retombe encore parfois. Il est si difficile de ne pas juger face à des choix si différents des nôtres.
Puis je me rappelle : beaucoup de nos décisions sont contraintes, pas vraiment éclairées. On fait ce qu'on pense être le mieux, toujours. Et être mère, c'est déjà un défi TELLEMENT immense.
Alors si toi aussi tu veux sortir de cette spirale de jugement et de solitude maternelle, suis-moi. Faisons un bout de ce chemin ensemble. 💙
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